Je viens de prendre connaissance de ce texte sur la thématique « la justice ». Avec plaisir nous vous en donnons le plus important ici.
Son titre (l’or vert qui assoiffe le Maroc) résume tout le post.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.
Le papier peut par conséquent être pris au sérieux.
L’article a été diffusé à une date notée 2024-02-20 10:41:00.
L’article d’origine :
Un avocatier mature nécessite entre 1 000 et 1 300 mm de pluie par an et un avocat consomme environ 1 000 litres d’eau par kilogramme contre seulement 600 litres pour l’orange par exemple, explique Ahmed Talhi, expert marocain en environnement et développement durable.
La plupart des petits producteurs d’avocats mettent en place des systèmes d’irrigation pour exploiter les eaux de surface (lacs, rivières ou barrages), épuisant ainsi la nappe phréatique qui a du mal à se renouveler en raison de la rareté des précipitations, développe l’expert.
À lire : Maroc : la pastèque sacrifiée pour préserver l’eau ?
Ces dernières années, le niveau de la nappe phréatique a considérablement chuté dans de nombreuses régions du royaume, a ajouté Ahmed Talhi, précisant qu’il serait difficile d’établir un lien entre cette baisse du niveau de la nappe phréatique et l’expansion de la culture de l’avocat au Maroc.
Un expert agricole qui a requis l’anonymat, a pour sa part appelé à éviter de comparer la culture de l’avocat à celle d’autres cultures consommatrices d’eau comme la pastèque, soulignant que l’avocat est un fruit tropical, alors que la pastèque est cultivée uniquement pendant certaines périodes.
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